Un kill switch est un mécanisme de sécurité qui permet de désactiver à distance un appareil, un système ou couper Internet en cas de compromission.
pluriel : kill switches
Il existe différents types de kill switches :
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- Au niveau de l’appareil : bloque toute connexion internet de l’appareil
- Au niveau du programme : ne coupe que la connexion de certaines applications spécifiques
- Basé sur les règles du pare-feu : applique des règles pour bloquer certaines connexions
Exemples de kill switch :
- Logiciel anti-malware : lorsqu’une infection par un logiciel malveillant est détectée, un kill switch peut arrêter le logiciel ou même couper l’accès à Internet pour empêcher la propagation.
- Cryptomonnaies : certaines blockchains intègrent des kill switches pour désactiver des smart contracts en cas de comportement inattendu ou malveillant.
- Appareils IoT (Internet of Things) : un kill switch peut désactiver à distance un appareil connecté compromis ou défaillant pour éviter des incidents de sécurité.
- Services cloud : les plateformes cloud intègrent souvent des kill switches pour stopper immédiatement des services compromis ou en violation de sécurité.
Comment les spécialistes de la cyber utilisent le mot kill switch :
- « Active le kill switch pour isoler l’incident et éviter une propagation. »
- « Le kill switch a été déclenché automatiquement après la détection d’un comportement anormal. »
- « Il est crucial de tester régulièrement le fonctionnement du kill switch pour s’assurer de sa réactivité. »
- « Nous avons mis en place un kill switch sur le serveur principal pour pouvoir l’éteindre en cas de cyberattaque. »
- « La nouvelle mise à jour intègre un kill switch logiciel pour empêcher l’exécution de code malveillant. »